La longueur du majeur

La longueur du majeur

Le majeur long

On considère le Majeur comme long si son extrémité dépasse largement celles de l'annulaire ou de l'index.

La fonction d'auto-positionnement est très développée. On conçoit facilement que chez un individu qui à une perception si fine des échelles de valeurs le besoin de sécurisation pousse à épouser ces valeurs et à se situer par rapport à elles.

Soucieux d'être correctement perçus les sujets à Majeur long seront conformistes et auront besoins de se situer socialement pour se rassurer. Le positionnement étant pour eux une nécessité, ils préfèreront les références stables,( qui facilitent un positionnement stable). Ces individus seront d'un type normatif, conformistes, à l'esprit plutôt rationnel, et qui attacheront une grande importance à la réussite sociale et professionnelle. Leur sens de la hiérarchie est développé.

Ce besoin d'adéquation permanente à des normes en font des individus fiables, généralement organisés et prévoyants (car ils ont besoins de références dans le temps et l'espace pour agir).

Le majeur court

On considère comme court, par rapport aux autres doigts, un Majeur dont la longueur est de l'ordre de celle de l'annulaire ou de l'index.

La capacité d'auto-évaluation est limitée et le monde du ressentir sera privilégié par rapport à celui de l'évaluatif.

Le sujet manque de colonne vertébrale et de maturité. Il sera souvent débordé par son affectif et aura du mal à s'intégrer socialement. Il présente un certain marginalisme, pas forcément en réaction à des difficultés d'intégration mais peut être par une absence de souci d'intégration.

C'est un indice de versatilité, d'influencabilité, de manque de continuité, mais en contrepartie de dynamisme, de goût de l'aventure, du risque, d'ouverture aux idées nouvelles.

Un Majeur court peut-être compensé par un pouce fort (qui induit une auto-structuration au niveau de l'inconscient) ou un mars hypothénar fort (qui garantit la cohérence des valeurs internes).